Dans 150 ans, après l’Homme, que resterait-il à Genève?

Quelle trace de son passage laisserait l’Homme sur la Terre s’il venait à disparaître ? A la lecture de l’article du Matin de ce jour, « La terre sans l’homme ou le paradis retrouvé », j’ai imaginé un instant Genève après 2100 : La ville moderne, recouverte de murs végétalisés, le jet d’eau à sec, ne donnant plus la réplique à la cathédrale, dont la flèche se dresserait encore fièrement dans le ciel. Les loups de Robert Hainard côtoyant les vrais. De la rade, une vue imprenable sur la plage, pas celle dont rêve Cramer, mais celle laissée par l’abaissement des eaux du Léman suite à l’effondrement des barrages. Exercice intéressant alors que les futurs constituants devront plancher sur une nouvelle Constitution, avec le défi d’assurer sa pertinence dans quelques 150 ans, comme l’actuelle…

5.10.2008

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